Compte tenu de la motivation elliptique de l’arrêt du 12 septembre 2006, Laurent GABAROUM a introduit un pourvoi en cassation. Par décision non motivée du 22 septembre 2011, la Cour de cassation a rejeté le pourvoi sans expliquer les raisons objectives pour lesquelles il n’aurait pas été admis. Face à cette volonté de contraindre Laurent GABAROUM au silence et de dissimuler un racisme d’Etat avec le pourvoi non admis comme leurre, une vérité reste immuable : un rapport de non-admission rédigé sur la base d’éléments de preuve délibérément et sciemment dénaturés par les juridictions internes dans l’unique but d’extraire l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS d’une affaire embarrassante de racisme et de discrimination raciale ne satisfait pas aux conditions d’une justice équitable rendue au nom du peuple français. L’histoire retiendra que, dans un dernier sursaut de lucidité, l’instance au sommet de la pyramide judiciaire française n’a pas su se hisser à la hauteur des idéaux qui fondent la nation française au point de donner 6 raison à Jean de LA FONTAINE pour qui «(…) Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de Cour vous feront blanc ou noir.» Pour «soigner le nègre pour l’exemple», l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS, spécialiste du «management par le suicide», a mis au placard, Laurent GABAROUM, depuis de nombreuses années, à un poste de travail fictif de «Responsable Sécurité et Conditions de Travail». En l’espèce, le «management par le suicide» a pris le visage de la Direction de l’Etablissement Renault Siège, devenue l’exécuteur testamentaire de la fatwa émise par des suprémacistes DRH, nécessitant de Laurent GABAROUM un signalement au Comité de l’ONU. En effet, c’est un fait incontestable que le complotiste en diable naguère à l’œuvre dans la mise en cause à tort des cadres dirigeants dans une fausse affaire d’espionnage industriel de sinistre mémoire est une créature de la Direction de l’Etablissement Renault Siège aujourd’hui chargée d’organiser, en toute sérénité, le délit d’entrave à la décision du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU (CERD).

Le 19 mars 2012, après épuisement des voies de recours internes, Laurent GABAROUM a introduit une requête devant le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU. Le 12 février 2013, estimant que les agissements racistes et comportements discriminatoires, notamment les mesures de rétorsion de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS n’ont jamais cessé, après l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 12 septembre 2006, Laurent GABAROUM a saisi le Conseil de Prud’hommes de Versailles d’une nouvelle demande visant à faire reconnaître la discrimination intersectionnelle dont il est l’objet. Par jugement rendu le 26 janvier 2015, au terme d’une audience d’une partialité pitoyable, contraire aux normes prohibant toute justice de copains et coquins, le Conseil de Prud’hommes de Versailles a violé le droit de Laurent GABAROUM à un procès équitable.

Laurent GABAROUM a donc interjeté appel de ce jugement. Le 8 février 2016, à l’occasion de la procédure devant le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU, Laurent GABAROUM découvre que pour fausser la décision de la Cour d’appel de Paris du 12 septembre 2006 et nier avec succès l’absence de toute discrimination raciale, l’Alliance RENAULTNISSAN-MITSUBISHI MOTORS a déployé des trésors d’ingéniosité pour abuser de la bonne foi des juges : le blackface, à savoir, noircir par photocopieur, les photos des Cadres blancs qu’elle a présentés à la Cour comme étant des Cadres noirs. 7 Face à cette escroquerie au jugement et, dans la foulée, par exploit d’huissier du 8 mars 2016, Laurent GABAROUM a fait citer l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS à comparaître devant la Cour de céans afin que soit ordonné la rétraction de l’arrêt du 12 septembre 2006 et qu’il soit de nouveau statué en fait et en droit sur ses demandes relatives à la discrimination dont il est l’objet.(la suite dans la 5ème et dernière partie)

Laurent GABAROUM

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