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GÉOPOLITIQUE/ BIOLABS : L’AFRIQUE AU CŒUR D’UN VASTE RÉSEAU DE LABORATOIRES D’ARMES BIOLOGIQUES CONTRÔLÉS PAR LES ÉTATS-UNIS À DES FINS MILITAIRES.

(texte)

La Russie affirme avoir obtenu des documents confirmant que les États-Unis transfèrent leurs laboratoires de recherche biologique « illégaux » en Afrique.

En février 2022, le ministère russe de la Défense a découvert l’existence de 30 laboratoires de recherche biologique financés par le Pentagone en Ukraine. À l’époque, la Russie affirmait que ces laboratoires ne représentaient qu’une petite partie d’un réseau mondial de plus de 300 installations similaires.

Le ministère de la Défense a déclaré lundi, citant des documents obtenus du Pentagone, que les États-Unis transféraient des activités de recherche biologique à double objectif vers le continent noir.

D’ailleurs à cet effet, le lieutenant-general Igor Kirillov qui dirige les troupes de protection nucléaire, chimiques et biologiques des forces armées russes déclarait ceci : “Les documents dont nous disposons confirment les activités des principaux sous-traitants du pentagone sur le continent Africain – En République Démocratique du Congo, en Sierra-Leone, au Cameroun, en Ouganda, en Afrique du Sud et au Kenya”.

Les clients du gouvernement américain sont là DTRA ( Defense Threat Reduction Agence), la National Security Agency ( NSA) et le département d’État Américain a déclaré Kirillov.

Le gouvernement Américain comme à son habitude nie ces activités. Cependant le sénateur Américain, Homme politique et candidat à la Présidentielle Robert Kennedy Jr ainsi que d’autres hommes politiques américains ont confirmé que l’appareil militaire américain gère de nombreux laboratoires biologiques à travers le monde pour produire des armes interdites de qualité “MILITAIRES”.

I- BIOLABS AMERICAINS EN AFRIQUE ; MENACES POUR LA PAIX ET LA SÉCURITÉ DE NOS ÉTATS : LE CAS DU KENYA.

Fin Octobre 2023, des spécialistes de l’institut de recherche scientifique sur les maladies infectieuses des forces terrestres Américaines sont arrivés au Kenya. Les informations sur leur activité étaient évidemment classées comme “SECRÈTES”. Mais même sans cela, force sera de constater que leur objectif premier est de “CRÉER DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE DANS LA RÉGION”.

Uniquement sur le continent Africain, les États-Unis financent de tels laboratoires en Guinée, au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Kenya, au Libéria, au Nigéria, en Afrique du Sud, au Sénégal, en Sierra-Leone, en Tanzanie et en Ouganda. Personne ne peut dire avec certitude ce que font réellement ces laboratoires de biologie. Ils sont quasiment fermés aux journalistes curieux. Ils sont parfois officiellement visités par des inspections internationales selon un itinéraire prédéterminé.

En 2020, lorsque l’épidémie de COVID-19 s’est déclarée, la chaîne de télévision Chinoise China Television ( CCTV) a publié une vidéo sur internet sur la divulgation mondiale des laboratoires de biologie américains. Les journalistes Chinois ont identifié plus de 200 objets de ce type très inaccessibles aux médias dans de nombreux pays du monde.

Par exemple, des journalistes Chinois ont découvert qu’un tube à essai contenant une souche d’un virus encore inconnu, disparu du GNL ( Laboratoire National de Galveston ) le 26 mars 2013 avait provoqué une épidémie de “FIÈVRE HÉMORRAGIQUE” au Venezuela qui avait fait de nombreuses victimes.

MAINTENANT SUR LE KENYA ET LA TANZANIE VOISINE.

En 1973, l’USAMRU-K ( l’unité de recherche médicale de l’armée américaine au Kenya) a été créé dans la ville principale de Nairobi. Il est situé sur la route Mbagathi. Les premiers à tirer la sonnette d’alarme sur les activités actuelles du centre furent les médias belges. Des journalistes belges ont révélé les faits de la sélection d’enfants âgés de 05 à 17 mois issus des familles indigènes pour des “ESSAIS DE VACCINS”.

De plus, les enfants ne venaient pas seulement du Kenya mais aussi de Tanzanie et du Mozambique pas si loin. Ensuite , la presse kenyane a publié un article selon lequel un incubateur de 16 agents pathogènes de maladies extrêmement dangereuses était concentré dans le centre.

II- BIOLABS AMERICAINS DANS LE MONDE : COMPLOT INTERNATIONAL CONTRE L’AFRIQUE ET L’HUMANITÉ ( ONU, OMS, ÉTATS-UNIS) VIA LA SCIENCE À DES FINS MILITAIRES ET STRATÉGIQUES.

Il convient avant toute chose déjà de rappeler que le 26 Mars 1975, la première convention internationale de l’ONU sur l’interdiction de toute une classe d’armes est entrée en vigueur. Il s’agissait d’armes de destruction massive – biologiques ( Bactériologiques). Actuellement 183 États ont signé cet accord.

Pour mieux comprendre ce complot international contre l’Afrique et contre l’humanité, je vous invite à lire ce texte de Ignacio Ramonet ( Journaliste, Professeur de théorie de la Communication, spécialiste en Géopolitique. Par ailleurs Directeur du média “Monde Diplomatique” en Espagnol ) expliquant la complicité et la complaisance du Conseil de Sécurité des Nations-Unies face à des accusations aussi gravissimes qui menacent même la Survie de l’espèce humaine.

Le texte écrit par Ramonet est le suivant :

“… Urgent.

Lors d’une réunion bruyante du Conseil de sécurité des Nations unies, tenue à la demande de la Russie, sur le développement d’armes biologiques américaines à ses frontières, à l’intérieur de l’Ukraine, les éléments suivants sont apparus :

1- Le délégué russe a remis des documents et des preuves pour le compte rendu de la réunion confirmant ce qui suit :

A- Financement officiel par le Pentagone d’un programme “apparent” d’armes biologiques en Ukraine.

B- Noms des personnes et des entreprises américaines spécialisées dans les tests et les documents impliqués dans ce programme.

C- La localisation des laboratoires en Ukraine et les tentatives faites jusqu’à présent pour dissimuler les tests.

2- Annonce d’une autre surprise de la part du représentant russe sur la localisation des laboratoires américains fabriquant et testant des armes biologiques dans 36 pays du monde (soit une augmentation de 12 pays par rapport à la session précédente).

3- Le délégué russe a précisé les maladies et épidémies, les moyens de leur diffusion, les pays dans lesquels ils sont testés et quand et où les expériences ont été menées avec ou sans la connaissance des gouvernements de ces pays.

4- Le délégué russe a confirmé publiquement que parmi les expériences et les effets se trouve le virus responsable de la pandémie actuelle et le grand nombre de chauves-souris utilisées pour transmettre ce virus.

5- Les Etats-Unis le nient, la France et la Grande-Bretagne sont alliées (et l’écho parmi les populations de ces pays est très violent), et tendent à croire à ce roman sous la pression psychologique que la pandémie a laissé sur tout le monde.

6- L’Organisation Mondiale de la Santé nie avoir connaissance de l’existence d’expériences biologiques en Ukraine et déclare : Toutes nos informations sont qu’il s’agit de laboratoires de recherche médicale pour combattre les maladies (et la Russie prouve par des preuves la correspondance régulière et les visites d’experts de l’Organisation Mondiale de la Santé) à des laboratoires américains présumés dans le monde entier.

7- La Chine attaque tout le monde, et dit au délégué américain : “Tant que vous niez et que vous êtes sûr de votre innocence, pourquoi refusez-vous désespérément de permettre une enquête par des spécialistes pour découvrir la vérité, surtout avec des documents et des preuves tangibles ?

A ceux qui veulent savoir ce que sont les oiseaux numérotés… et comment l’Amérique tue le monde sans un seul coup de feu… Voici l’information :

OISEAUX DE DESTRUCTION MASSIVE…

La Russie ne s’attendait pas à découvrir, dans le cadre de sa campagne militaire en Ukraine, des oiseaux numérotés produits par des laboratoires biologiques et bactériologiques ukrainiens financés et supervisés par les États-Unis d’Amérique.

MAIS QUE SONT LES OISEAUX NUMÉROTÉS ?

Après avoir étudié la migration des oiseaux et les avoir observés au fil des saisons, les spécialistes de l’environnement et les zoologues seront en mesure de connaître le chemin que ces oiseaux empruntent chaque année au cours de leur voyage saisonnier, y compris ceux qui se déplacent d’un pays à l’autre, voire d’un continent à l’autre.

C’est là qu’intervient le rôle de l’intelligence des parties exécutant un plan malveillant, un groupe de ces oiseaux migrateurs est “arrêté”, numérisé et équipé d’une capsule de germes portant une puce à surveiller par ordinateur, puis relâché à nouveau pour rejoindre les oiseaux migrateurs dans les pays où les dégâts sont prévus.

On sait que ces oiseaux empruntent un chemin de la mer Baltique et de la mer Caspienne vers le continent africain et l’Asie du Sud-Est, et deux autres vols du Canada vers l’Amérique latine au printemps et en automne. Pendant leur long vol, leur mouvement est suivi pas à pas au moyen de satellites, et leur position exacte est déterminée. S’ils veulent, par exemple, nuire à la Syrie ou à l’Égypte, la puce est détruite lorsque l’oiseau se trouve dans leur ciel. L’oiseau est tué et tombe porteur de l’épidémie, et les maladies se propagent dans tel ou tel pays. Ainsi, le pays ennemi a été endommagé sans aucun coût militaire, économique et politique.

La numérotation des oiseaux migrateurs est considérée comme un crime en vertu du droit international, car ce sont des oiseaux qui pénètrent dans le ciel et l’air d’autres pays, et s’ils sont pourvus de germes, alors cet oiseau devient une arme de destruction massive. Par conséquent, dans le droit international, il est considéré comme interdit d’utiliser des oiseaux pour lancer des attaques mortelles contre un adversaire, et quiconque commet un tel acte immoral et inhumain est puni, et c’est ce qui a fait trembler l’Amérique, non pas d’une quelconque punition (personne n’ose les punir) mais de la stigmatisation qui accompagnera la vie de tous ces gens et qui l’exclura complètement en tant que pays crédible, même de ses alliés.

Les Russes disposent d’une forte monnaie d’échange : lorsqu’ils disent avoir capturé les oiseaux, cela signifie que les Américains sont pris en flagrant délit, tous les détails qu’ils contiennent constituant la conviction décisive. Cela oblige à réfléchir à la possibilité que tous les virus qui ont infecté l’homme au cours de ce siècle, surtout les plus récents, comme Ebola, qui a touché l’Afrique, l’anthrax, la grippe porcine et la grippe aviaire, et actuellement le Covid-19, proviennent tous de laboratoires financés et gérés par les États-Unis d’Amérique, et c’est ce qui a poussé la Chine à présenter une demande urgente, sérieuse et stricte d’enquête internationale sur l’apparition soudaine du coronavirus, il est très probable que les États-Unis aient utilisé des oiseaux migrateurs pour tuer des citoyens chinois.
L’important, c’est que les scandales de l’Amérique du Nord se multiplient et qu’elle a commencé à modérer son hostilité à l’égard de la Russie et tente de renouer avec elle, dans l’espoir de parvenir à un accord politique avec les Russes qui la protégera du mal de ses actions et afin qu’elle ne constitue pas une menace pour la Russie à l’avenir.

Voilà enfin ce que déclare Dimitry PESKOV ( Porte-parole du Kremlin) : ” Des informations attestent que dans le cadre de ce programme du Pentagone, il existe une chaîne de biolabs autour de la Russie , incluant la Biélorussie et d’autres pays dans le monde qui travaillent non seulement sur des agents pathogènes hautement dangereux, des microbes , des virus mais ils travaillent aussi sur la création de nouvelles formes d’armes biologiques qui fonctionnent par sélection ethnique”.

Par Charly KENGNE

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