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Des Poulets de race Africaine Made in Burkina Faso grâce aux diplômés de la Pougala Academy, c’est possible !
Certains sont fiers d’être africains juste parce qu’ils sont nés en Afrique.
D’autres ne sont fiers de leurs origines africaines que parce qu’ils sont allés s’attribuer frauduleusement des ancêtres célèbres dans l’Égypte Antique.
A la Pougala Academy nous enseignons au contraire, qu’il est idiot d’été fiers de la pauvreté, fiers de la misère, fiers de l’humiliation, fiers de la soumission.
Nous enseignons qu’on ne va jamais en guerre sans commencer par évaluer ses faiblesses, son retard par rapport aux autres peuples.
Il faut commencer par reconnaître que nous sommes des nuls qui n’ont pas trouvé leur place dans un monde guidé par la science et la technologie et non les émotions.
C’est ici que débute notre bataille : être au moins capables de produire ce que nous allons manger.
On ne ré-invente pas la roue de histoire. Nous nous contentons de partir de zéro, de là où toutes les civilisations sont parties : passer de la chasse et la cueillette à l’agriculture, passer du nomadisme à l’élevage sédentaire.
Et qui dit élevage, dit génétique. Et comment parler de génétique animale sans parler de la création des races : races de bovins, races de porcins, races de poulets etc.
Comment un africain doté de tout son cerveau peut croire une seule seconde que les autres peuples vont le respecter parce qu’il a brandi le mensonge selon lequel un Bantou de la forêt équatoriale serait descendant d’un Méditerranéen du désert au lieu de montrer un Poulet dont il est auteur de la création de la race ?
L’africain se trompe continuellement de combat. Quand le monde entier va à droite, il va à gauche.
Quand le monde entier monte, il descend.
Quand l’occident cajole la Chine pour attirer les investissement du pactole de sa montagne des réserves de change, , l’africain croit utile et profitable pour lui d’insulter la Chine pour plaire à ses maîtres blancs, jusqu’à expulser des ingénieurs qui fournissent le carburant et l’électricité au pays (Niger).
J’ai reçu ces photos de nos apprenants venus à Bafang apprendre comment on construit la. Conscience de classe d’une nouvelle génération de la bourgeoisie africaine qui sait que l’Afrique doit mener sa propre conquête scientifique sur des choses simples comme l’alimentation.
Il s’agit d’une race de poulet africains développée par notre collectif des Nouveaux Industriels Africains (Rinvindaf) avec l’accompagnement technique et scientifique de l’académie chinoise des sciences.
La poule traditionnelle africaine pont jusqu’à 60 œufs par an.
Nos nouvelles races de poules africaines pondent en moyenne 300 œufs par an. Et chaque coq pèse un environ 2,7 kg.
D’où notre Fierté non plus de la misère mais d’une terre africaine qui est attractive pour ses propres populations parce que nous nous donnons les moyens de la transformer nous-mêmes en paradis, pour qu’elle nous donne, bonheur et prospérité.
A nos jeunes du Burkina Faso, je suis fier de vous. D’autres jeunes d’Afrique de l’ouest sont en route pour se joindre à nous la semaine prochaine à Bafang, pour augmenter les guerriers de cette nouvelle bataille scientifique qui attend le continent africain.
Dans une semaine : Jeudi 25 septembre 2025, nous allons former une nouvelle cuvée de ces soldats aguerris de la guerre économique entre les Nations, avec une chance de la remporter et non plus démunis comme nos prédécesseurs.
En tout cas, la Pougala Academy met le paquet pour faire migrer le maximum d’africains de la classe de prolétaire à celle des bourgeois, des industriels, les vrais. Plus les africains prêtes-noms des européens auxquels l’Afrique est habituée.
Jean-Paul Pougala
Jeudi le 18 septembre 2025