Du mois d’avril au mois de juillet 2022 s’est tenu au musée du Quai Branly Jacques Chirac à Paris, une exposition des objets d’art camerounais, Bamiléké en majorité.
Quel était le but d’une telle exposition?
Pourquoi l’avoir organisée à Paris et non pas à Yaoundé, capitale du pays de provenance de ces objets d’art, qui est pourtant doté d’un musée national en plein centre ville?
Les organisateurs de cette exposition ont-il, en amont, pensé au massacre entre 1950 et 1971 de ceux-là même qui fabriquèrent ces objets, par l’armée du pays d’exposition?
Cette question, non évoquée, ne serait-elle pas le motif qui a conduit ces organisateurs à ostraciser JMTV+, seul média en région parisienne qui aurait pu osé poser “d’embarrassantes” questions à Mr Christophe Guilhou, ambassadeur de France au Cameroun pourtant présent à l’ouverture de cette exposition à Paris, et à bien d’autres personnalités tant françaises que camerounaises?
Dans cette première partie, se pose également la question des retombées en faveur du Cameroun et, pour répondre à nos questions, Jean-Paul MOUNE, président de l’APLC(association pays de la Loire Cameroun), qui a engendré l’Association la Route des Chefferies au Cameroun, est l’invité du Bœuf-Social.
JMTV+
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