“..Et si cela avait été Maurice Kamto à la place de Paul Biya, avec un bilan aussi catastrophique en 46 ans, oui faisons un peu de fiction, comment auriez-vous réagit?” C’est avec cette question de René Calvin, musicien de Jazz connu en Amérique latine mais originaire du Sud du Cameroun, région de Monsieur Biya, que nous commençons la troisième partie de ce “Bœuf-Politique” consacré le 13 août dernier à Samuel MOTH, président de la section RDPC du Nkal sud-est. 

En suite, Quid des libertés individuelles au Cameroun d’aujourd’hui? Cette question vint de Mado Kerharo en plateau.

Au fil de la discussion, Samuel Moth se montre de plus en plus amoureux de la France que du Cameroun;prompte à parler des Gilets Jaunes que des exactions et exécutions sommaires, dénoncées par différentes ONG et même par le département Américain, pourquoi cherche t-il des échappatoire?

Quid des incessants appels au massacre des Bamiléké au Cameroun, et surtout qu’attend le RDPC pour initier une loi qui punirait les incitations à la haine tribale; question de la BAS Suisse.

Pour l’Homme du Nkam, une vie humaine semble valoir moins que de simples objets cassés à l’Ambassade du Cameroun à Paris, c’est à se demander où il place l’humain dans son centre d’intérêt politique…

JMTV+

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