(texte)
Demandez aux industriels africains, leur définition de “secret industriel”, “guerre économique” ou “intelligence économique”. Vous serez surpris de constater que presque tous ne savent pas de quoi il s’agit.
La plupart ne sont même pas au courant du fait que nous sommes dans une guerre économique et par conséquent, où il faut utiliser l’intelligence (espionnage) économique à tous les niveaux, pour avancer en connaissance de cause.
Je suis souvent amusé de voir mes détracteurs commenter sur les reseaux sociaux avec des thèmes du genre : « qu’est-ce que Pougala a fait jusqu’à on a vu ? » Ou encore « Où sont les gens formés par Pougala ? »
Chaque fois, cela me fait rire, pour une banalité qui révèle au fond une marque civilisationnelle qui fait la différence entre l’Occident et l’Orient : la discrétion.
Ces gens sont tous en bonne foi convaincus que si ma formation avait du succès, des gens se succederaient à la télévision pour chanter le nom de Pougala.
Ce qu’ils ne savent pas est que le Rinvindaf est avant tout structuré autour du secret, autour de la discrétion.
Les thèmes développés sont si faciles que c’est bien tout le monde qui le fera tot ou tard, mais c’est bien pour cela qu’il faut la discrétion pour prendre une certaine avance.
C’est exactement ce qu’on vit à l’heure actuelle entre américains et chinois à travers Huawei. Lorsque Alibaba a levé des fonds pour entrer à la Bourse de New York, les spécialistes occidentaux se sont frottés les mains en se félicitant d’avoir pu pénétrer à l’intérieur du capitalisme chinois.
Ce qu’ils ne savaient pas alors était que Alibaba n’était que le Lapin que le prestidigitateur sort de son chapeau pour embrouiller les spectateurs.
Contrairement à l’occident où c’est du vrai « chacun pour soi », en Chine, c’est l’Etat super-puissant qui est le maitre d’orchestre et ordonne la musique que tout le monde doit chanter.
Les américains ne savent pas qu’ils peuvent même prendre Alibaba, mais ce n’était que de la diversion. Le vrai bijoux très protégé est : Huawei.
De Huawei, personne ne sait rien que ce
Demandez aux industriels africains, leur définition de “secret industriel”, “guerre économique” ou “intelligence économique”. Vous serez surpris de constater que presque tous ne savent pas de quoi il s’agit.
La plupart ne sont même pas au courant du fait que nous sommes dans une guerre économique et par conséquent, où il faut utiliser l’intelligence (espionnage) économique à tous les niveaux, pour avancer en connaissance de cause.
Je suis souvent amusé de voir mes détracteurs commenter sur les reseaux sociaux avec des thèmes du genre : « qu’est-ce que Pougala a fait jusqu’à on a vu ? » Ou encore « Où sont les gens formés par Pougala ? »
Chaque fois, cela me fait rire, pour une banalité qui révèle au fond une marque civilisationnelle qui fait la différence entre l’Occident et l’Orient : la discrétion.
Ces gens sont tous en bonne foi convaincus que si ma formation avait du succès, des gens se succederaient à la télévision pour chanter le nom de Pougala.
Ce qu’ils ne savent pas est que le Rinvindaf est avant tout structuré autour du secret, autour de la discrétion.
Les thèmes développés sont si faciles que c’est bien tout le monde qui le fera tot ou tard, mais c’est bien pour cela qu’il faut la discrétion pour prendre une certaine avance.
C’est exactement ce qu’on vit à l’heure actuelle entre américains et chinois à travers Huawei. Lorsque Alibaba a levé des fonds pour entrer à la Bourse de New York, les spécialistes occidentaux se sont frottés les mains en se félicitant d’avoir pu pénétrer à l’intérieur du capitalisme chinois.
Ce qu’ils ne savaient pas alors était que Alibaba n’était que le Lapin que le prestidigitateur sort de son chapeau pour embrouiller les spectateurs.
Contrairement à l’occident où c’est du vrai « chacun pour soi », en Chine, c’est l’Etat super-puissant qui est le maitre d’orchestre et ordonne la musique que tout le monde doit chanter.
Les américains ne savent pas qu’ils peuvent même prendre Alibaba, mais ce n’était que de la diversion. Le vrai bijoux très protégé est : Huawei.
De Huawei, personne ne sait rien que ce
Demandez aux industriels africains, leur définition de “secret industriel”, “guerre économique” ou “intelligence économique”. Vous serez surpris de constater que presque tous ne savent pas de quoi il s’agit.
La plupart ne sont même pas au courant du fait que nous sommes dans une guerre économique et par conséquent, où il faut utiliser l’intelligence (espionnage) économique à tous les niveaux, pour avancer en connaissance de cause.
Je suis souvent amusé de voir mes détracteurs commenter sur les reseaux sociaux avec des thèmes du genre : « qu’est-ce que Pougala a fait jusqu’à on a vu ? » Ou encore « Où sont les gens formés par Pougala ? »
Chaque fois, cela me fait rire, pour une banalité qui révèle au fond une marque civilisationnelle qui fait la différence entre l’Occident et l’Orient : la discrétion.
Ces gens sont tous en bonne foi convaincus que si ma formation avait du succès, des gens se succederaient à la télévision pour chanter le nom de Pougala.
Ce qu’ils ne savent pas est que le Rinvindaf est avant tout structuré autour du secret, autour de la discrétion.
Les thèmes développés sont si faciles que c’est bien tout le monde qui le fera tot ou tard, mais c’est bien pour cela qu’il faut la discrétion pour prendre une certaine avance.
C’est exactement ce qu’on vit à l’heure actuelle entre américains et chinois à travers Huawei. Lorsque Alibaba a levé des fonds pour entrer à la Bourse de New York, les spécialistes occidentaux se sont frottés les mains en se félicitant d’avoir pu pénétrer à l’intérieur du capitalisme chinois.
Ce qu’ils ne savaient pas alors était que Alibaba n’était que le Lapin que le prestidigitateur sort de son chapeau pour embrouiller les spectateurs.
Contrairement à l’occident où c’est du vrai « chacun pour soi », en Chine, c’est l’Etat super-puissant qui est le maitre d’orchestre et ordonne la musique que tout le monde doit chanter.
Les américains ne savent pas qu’ils peuvent même prendre Alibaba, mais ce n’était que de la diversion. Le vrai bijoux très protégé est : Huawei.
De Huawei, personne ne sait rien que ce
qu’ils ont envie de nous raconter. Et ce, pour une raison qui tient à la leçon capitale du Sous-Marinage (SM). Contrairement à tous ses concurrents occidentaux, Huawei ne publie pas ses comptes (bilans, comptes d’exploitation).
Car contrairement à l’Occident où il est obligatoire pour toutes les entreprises de déposer les comptes et les résultats d’exploitation au tribunal du commerce, pour la France, à la Chambre de Commerce pour l’Italie, à la Région pour l’Allemagne, en Chine, seules les entreprises cotées à la bourse ont cette obligation.
Et Huawei n’étant pas cotée à la bourse, est la seule à savoir son degré de santé financière.
Ce secret légal, lui confère un avantage inouï sur les concurrents, car chaque matin, Huawei tend la main et obtient tous les comptes d’exploitation de tous ses concurrents occidentaux et peut décider des stratégies à mener pour les contrer alors que ces concurrents ne peuvent pas faire de même pour ce qui la regarde.
C’est « Unfair », c’est-à-dire, injuste et déloyal, oui, mais c’est à chacun de savoir se protéger et protéger les siens dans cette guerre économique mondiale qui est à facettes multiples. Les occidentaux sont juste trop naïfs dans un jeu de cartes qu’ils croyaient avoir suffisamment truquées pour faire d’eux toujours les maîtres du monde.
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Jean-Paul Pougala
Bafang le 29 mai 2019
(Leçon republiée Samedi le 27 decembre 2025)
















